| We are pleased to announce that a selection of our conferences and exhibition tours, curated with great care for the 3rd Senigallia Biennale, is now available on YouTube
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Dear distinguished listeners, We are pleased to announce that a selection of our conferences and exhibition tours, curated with great care for the 3rd Senigallia Biennale, is now available on YouTube. This exciting development allows you to delve into these moments, sharing them with a wider audience and those unable to attend due to unforeseen circumstances. Please bear with us as we share a minor detail: the conferences were initially conducted in French and Italian. However, we are diligently working to provide English subtitles through the use of artificial intelligence. We understand the challenges that lie ahead, but our unwavering commitment drives us to improve the accessibility and reach of our cultural programs. We sincerely appreciate your unwavering support and dedication to the Senigallia Biennale. Photographically yours,
Thursday 18 May / Jeudi 18 mai 2023 – 9:15 Enzo Carli, Gemmy Tarini, conferenza in italiano, con sotto-titoli in italiano. Tarini è stato uno dei principali fotografi senigalliesi insieme a Giuseppe Cavalli e Mario Carafoli. Tarini, in particolare, ha avuto un ruolo fondamentale nella ricerca fotografica, collaborando con Cavalli e partecipando alle mostre e ai concorsi fotografici dell’epoca. Link to the Italian conference video : https://youtu.be/W7wFtupzjCw
Daniel Girardin, La Beauté matériel des archives. Un cas d’étude, les archives Hans Steiner, écriture et réalisation d’un film pour le Musée de l’Élysée, Lausanne La conférence de Daniel Girardin portait sur le thème de la beauté des archives, en se concentrant sur la vie, la mort et le destin des images. Il a souligné l’importance de la sélection opérée par les photographes dans la constitution de leurs archives, ainsi que la question de la collection et de l’archive en général. Daniel a comparé les archives photographiques aux archives textuelles, mettant en évidence la valeur documentaire et émotionnelle des photographies. Il a abordé les analyses de Jacques Derrida sur le pouvoir des archives, l’angoisse et la nostalgie suscitées par les photographies, ainsi que la question de la vérité au sein des archives. Un exemple concret a été présenté, celui du fond photographique de Hans Steiner, un photographe suisse. Daniel a décrit les défis rencontrés avec ce fond, notamment l’absence de références temporelles, spatiales et nominatives. Lien d’accès à la vidéo de la conférence : https://youtu.be/gUP7YFMNQ28 Accès au film mis en ligne par l’Université de Lausanne “Hans Steiner, un destin de photographe”: https://youtu.be/e0HUpZB-OYc
Jean-Paul Avice, Charles Baudelaire et la photographie, en français avec sous-titres français Après avoir évoqué les différentes photographies de Baudelaire, il est intéressant de noter trois contradictions majeures liées à son rapport à la photographie. La première contradiction réside dans le fait que Baudelaire condamne la photographie en tant qu’incapable de saisir l’intériorité de l’homme, tout en étant le meilleur ami de Nadar, le célèbre photographe de son époque. Baudelaire reconnaît donc qu’il y a bien un être singulier derrière l’objectif de l’appareil, contredisant ainsi sa propre condamnation de la photographie. La deuxième contradiction se manifeste lorsque Baudelaire demande à sa mère de venir à Paris pour se faire photographier, affirmant qu’il y a de bons photographes dans la capitale. Il reconnaît ainsi la valeur de la photographie et la capacité des photographes à rendre l’âme et l’intériorité des sujets. La troisième contradiction concerne le fait que Baudelaire se fait photographier plus souvent que beaucoup d’autres auteurs de son époque, alors même qu’il dénonce le narcissisme et l’admiration de soi dans la photographie. Malgré ses critiques, Baudelaire a été capturé par l’objectif de l’appareil photo à de nombreuses reprises. Ces contradictions soulignent la complexité du rapport de Baudelaire à la photographie. Il reconnaît à la fois ses limites et sa capacité à capturer quelque chose d’essentiel, mais il exprime également des réserves quant à la vérité et à l’authenticité des images photographiques. Lien d’accès à la vidéo de la conférence : https://youtu.be/lZOtYuyWYQc
Friday 19 May / Vendredi 18 mai 2023 – 9:15 Solange Brand e Inès Plantureux dialoguent sur l’exposition Pékin, 1966, fragments d’une Révolution, Conférence en français, sous-titres en français Solange Brand a partagé ses expériences en Chine en tant que jeune fille de 19 ans, arrivée en 1965 à Pékin, à une époque où le pays était fermé et méconnu du reste du monde. Elle a expliqué comment elle a obtenu un poste à l’ambassade de France à Pékin et son désir de découvrir le monde et de prendre son indépendance. Solange a décrit les conditions de vie à Pékin à cette époque, soulignant l’absence d’informations en direct et de contacts directs avec l’extérieur. Elle a évoqué l’importance du courrier et du télex de l’AFP comme seuls moyens de communication avec la France. En ce qui concerne la photographie, Solange a expliqué qu’elle n’avait aucune expérience préalable, mais elle a ressenti le besoin de capturer les moments qu’elle voyait dans ce monde étranger. Elle a acheté un appareil photo Pentax à Hong Kong et a utilisé des pellicules AXA pour développer ses photos. Solange a également partagé son expérience de la photographie comme un moyen de communication silencieux avec les Chinois. Elle s’approchait des personnes dans la rue, et son appareil photo lui permettait d’établir une forme de contact, sans représenter une menace pour eux. Les photos qu’elle a prises reflétaient le quotidien des gens et exprimaient des sentiments paisibles et joyeux, malgré les événements tumultueux de la Révolution culturelle. Elle a mentionné les manifestations qui ont eu lieu devant l’ambassade de France et a expliqué que ces photos ne représentaient qu’une fraction subjective de la réalité du pays à cette époque. Elle a souligné que les manifestations étaient le résultat de tensions politiques et que les Chinois réagissaient de différentes manières selon les circonstances. En conclusion, Solange a évoqué son travail ultérieur au Monde et au Monde diplomatique, où elle a continué à travailler sur le visuel du journal et à associer des photographies aux articles. Elle a expliqué qu’elle n’avait jamais considéré la photographie comme un travail, mais plutôt comme une partie intégrante de sa vie. Elle a exprimé sa gratitude envers l’exposition qui donnait vie à ses photos et a remercié Andrea Franceschetti pour son travail sur les tirages photographiques. Lien d’accès à la vidéo de la conférence : https://youtu.be/iXZFv_O5YYk Et à la video de la visite qui suivit : https://youtu.be/TxTcDUjZliQ
Maria Spes Bartoli. Conferenza di Simona Guerra in italiano con sotto-titoli in italiano Maria Spes Bartoli è stata una fotografa italiana nata a Senigallia nel 1888. La sua carriera e la sua eredità sono notevoli, in quanto fu la prima donna fotografa in Italia a possedere uno studio proprio, cosa eccezionale per l’epoca. Nonostante le difficoltà incontrate, soprattutto durante la guerra, quando dovette gestire due studi in assenza del padre e del fratello mobilitati, Maria Spes sviluppò le sue capacità artistiche e il suo impegno nella fotografia. Lien d’accès à la vidéo de la conférence : https://youtu.be/12AIoPVmQ3g
Friday 19 May / Vendredi 18 mai 2023 – 18:15 Jean Poderos présenté par Serge Plantureux,Hommage à Pierre Apraxine, en français avec sous-titres français Lien d’accès à la vidéo de la conférence : https://youtu.be/3Y4IQmfY4zA Le riprese video sono state effettuate con il supporto dell’emittente televisiva locale Senigallia Notizie, del cameraman Alberto. The video recordings were made with the support of local television Senigallia Notizie, cameraman Alberto Olivieri: There are a total of 23 videos, visit of exhibitions and making-of of the Biennale on You-tube : Playlist IIIb III BIENNALE DI SENIGALLIA
IIIa BIENNALE DI SENIGALLIA – 23 VIDEOS ON YOUTUBE La BIENNALE DI SENIGALLIA si inserisce nell’ambito del progetto Senigallia Città della Fotografia, promosso dalla Regione Marche e realizzato dal Comunune di Senigallia e da Atelier 41 in collaborazione con la Fondazione Cassa di Risparmio di Jesi La Fotografia antica è la più bella delle collezioni … Senigallia, città della fotografia, ospita un nuovo spazio dedicato alla collezione di fotografie. Atelier 41, si trova 41 via fratelli Bandiera. In preparazione la III Biennale di Senigallia, estate 2023, conferenza, fiera 18-21 maggio 2023. Senigallia diventerà la Città delle collezioni.
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